Les crises se succèdent et laissent chacune des stigmates qui nous poussent à repenser la manière dont nous consommons, produisons, vivons et évoluons dans notre monde. En dépit de ses milliers de morts, la pandémie de coronavirus aura au moins eu l’effet d’une bombe sur notre économie, qui évolue à son niveau réel depuis quelques semaines, loin de la spéculation des marchés boursiers. Alors au lendemain du COVID-19, où investir ?
Un métal précieux dont la cote a été multipliée par x facteur
Pour ceux qui ont encore des notions de chimie, sachez que le palladium fait partie du tableau périodique des éléments chimiques. Du coup, ce n’est pas un métal précieux nouveau dans le sens de la découverte. Mais plutôt celui de sa valeur marchande, qui ne cesse de grimper.
En effet, la cote du palladium ne cesse de croître depuis quelques années. Au point où ce métal simplement précieux à une certaine époque a réussi la prouesse de détrôner l’or, le plus précieux de tous les métaux jusqu’ici.
Pour vous faire une idée de sa progression sur le marché. En 2010 sa valeur a crû de 96%, puis connu une légère baisse en 2011. Après quoi le palladium ne cessa de voir sa valeur croître pour atteindre les 2 200 dollars la once. A titre de comparaison, l’or se négocie facilement à 1 700 dollars la once en ce moment.
Il faut absolument y investir
Le fait est que, ce n’est certainement pas du fait de sa progression fulminante que nous vous recommandons d’investir dans le palladium. Mais plutôt à cause de sa courbe de progression, qui a été quasi-ininterrompue depuis 2012. Dans le même temps, la courbe de progression de la valeur de l’or a fortement chuté au fil des années.
Dans un contexte où le pétrole brut ne se vend plus les producteurs de pétrole ne savent même plus quoi faire de leur or noir, il est recommandé de massivement investir dans le palladium. Des analystes estiment que son pic de progression n’a pas encore été atteint.
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