Il s’appelait Quentin Dehar et était particulièrement célèbre en France. En effet, ce jeune homme âgé de seulement 26 ans avait un seul objectif dans la vie : ressembler à Ken. Malheureusement, sa passion aura eu raison de lui, et il a fini par se suicider lundi dernier.

Une passion dévastatrice

Quentin Dehar n’était pas un jeune homme comme les autres. Du haut de ses 26 ans, il ne rêvait que d’une chose : ressembler à la poupée mannequin Ken. Pour ce faire, il ne lésinait pas sur les moyens. En effet, il avait déjà dépensé plus de 20 000 euros dans des opérations de chirurgie esthétique.

Quentin Dehar apparaissait à la télévision dans des émissions de téléréalité comme un Dîner presque Parfait diffusée sur W9. Il était la cible de beaucoup de moqueries, et peu de monde comprenait son envie de ressembler à Ken. D’ailleurs, il était attaqué de toute part, notamment sur les réseaux sociaux.

Un suicide organisé

Le jeune homme était victime d’une très lourde dépression. Après son passage à la télévision, il s’était fait agresser à plusieurs reprises et ne supportait plus cette vie. Il a publié ce lundi sur les réseaux sociaux une copie d’écran de sa recherche Google qui indiquait comme mot clé « suicide FX ». Ce qui faisait référence à François-Xavier, ex-candidat de Secret Story 3 qui s’est suicidé en 2011.

Quelques heures plus tard, le sosie de Ken a été retrouvé mort chez lui. Il s’est donné la mort par pendaison, le2 septembre. C’était le jour de son anniversaire. Une bien triste nouvelle pour la famille de ce jeune garçon qui ne faisait de mal à personne mais vivait avec passion bien particulière pour le chéri de Barbie. Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il était hors norme…

Partagez maintenant.

Alexandre, rédacteur passionné avec une solide expérience en gestion et ressources humaines, a été Sales Business Director pendant dix ans puis Responsable RH pendant cinq ans. Diplômé de Paris Dauphine en administration des affaires, il allie expertise et curiosité pour partager des informations claires. Contact : [email protected].

Publiez votre avis