Nous sommes mardi, c’est le deuxième jour de la semaine et, même si nous ne prétendons pas tout savoir sur ce qui va se produire les prochains jours, on a une petite idée sur ce qui nous attend. En effet, de nombreux pays et dirigeants vont faire face à certaines difficultés.
Pour la France par exemple, on s’attend à voir les manifestations des gilets jaunes difficilement se terminer. Mais le Royaume-Uni va aussi devoir se confronter à son destin après le Brexit.
Le Brexit : le début de la fin ?
Les députés doivent se prononcer sur l’accord de Theresa May concernant la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne. Eh bien, si les députés soutiennent le vote, le Royaume-Uni va progresser théoriquement vers le 29 mars et la rupture du pays avec l’UE. Bien sûr, par rapport au chaos total que certains prédisent si les députés votaient contre l’accord, les choses semblent aller vers le Brexit.
Voici une vidéo en anglais relatant ces nouvelles :
Ceux qui ne sont pas d’accord vont probablement demander un deuxième référendum, une renégociation, des élections générales, un nouveau Premier ministre, ou tout simplement l’effondrement total de la civilisation. Franchement, à ce stade, aucune de ces possibilités ne semble possible.
Google combat les accusations de partialité
Le PDG de Google, Sundar Pichai, doit témoigner devant la commission judiciaire de la Chambre des États-Unis, pour répondre aux inquiétudes des républicains selon lesquels l’algorithme du moteur de recherche, ainsi que des plateformes comme YouTube, censurent injustement les utilisateurs à tendance conservatrice.
Cela permettra peut-être à Google de rassurer enfin les républicains sur son parti pris. Cependant, ce ne sera pas facile, même si ses analystes disent que rien ne justifierait l’affirmation. Nous savons déjà que le président américain, Donald Trump, a souscrit à la théorie, tweetant plus tôt cette année que Google avait truqué ses moteurs de recherche pour favoriser les sources qu’il qualifie de « Fake News Media ».
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