Bien qu’il continue à décimer la population mondiale, le coronavirus aka COVID-19 aura quand-même eu pour conséquence positive de faire découvrir deux mots aux francophones. Le premier étant le confinement et le second étant distanciation sociale. Alors que ces mesures sont à peine respectées dans notre pays, sous d’autres cieux afin de forcer les habitant à les respecter, un village a carrément décidé de se servir de fantômes. Attention les yeux, âmes sensibles s’abstenir.
Tout pour stopper le coronavirus
Tous les moyens sont décidément bons pour stopper la propagation de l’épidémie de coronavirus. Alors que de nombreux pays se battent afin de faire respecter les mesures barrières visant à endiguer la propagation du COVID-19, sous d’autres cieux on préfère passer directement à l’offensive en forçant limite les habitants à observer une distance de 1 m entre eux, se laver les mains et porter un masque.
C’est le cas notamment dans un village en Indonésie, où les policiers se déguisent en fantômes. En effet, ces policiers sur ordre direct de leurs supérieurs se coiffent de greffes et se peignent le visage afin de ressembler au maximum aux Pocongs, appellation locale des fantômes.
L’objectif est avant tout de dissuader les gens de sortir, une certaine heure passée. Et cette solution marche assurémment.
L’Indonésie frappée de plein fouet par le coronavirus
Pour rappel l’Indonésie compte à ce jour 4 500 cas confirmés de patients porteurs du COVID-19. A ce jour seuls 400 morts sont à déplorer, mais contrairement à l’Europe, la courbe de contamination ne cesse de se fléchir dans ce pays d’Asie du Sud-Est.
L’initiative de la police est saluée par les chefs religieux locaux. D’après-eux, les pocongs rappelleraient aux habitants les effets mortels de la maladie. Ils prennent ainsi plus facilement conscience de la dangerosité du COVID-19. Et finissent par rester à la maison pour éviter d’être contaminés à leur tour.