L’affaire Julian Assange est assez particulière et unique en son genre. Nous nous retiendrons de commenter les motivations de certains gouvernements et nations, de même que la justice de certains états, pour tout simplement vous annoncer que le fondateur de Wikileaks, Julian Assange est relaxé des poursuites de la justice suédoise qui l’accusait de viol. Cependant, celui-ci n’est pas totalement tiré d’affaire.
La Suède met fin aux poursuites
Après le carton ciblé de son site Wikileaks dans les années 2011, un mandat d’arrêt international fut délivré contre Julian Assange. Celui-ci avait trouvé refuge dans l’enceinte de l’ambassade d’Equateur à Londes, capitale britannique.
Il lui était notamment reproché des faits de viol, mise en danger de la sécurité des Etats-Unis, espionnage, espionnage industriel… la liste est assez longue pour constituer un programme électoral français. En ce qui concerne l’affaire de viol ce dernier était accusé par une jeune femme d’avoir entretenu des rapports sexuels consentis, mais non protégés, avec elle. Alors qu’elle avait spécifiquement demandé à ce qu’il chausse un préservatif.

Après des années d’enquête et surtout d’importants moyens financiers mis en jeu, Julian Assange n’est plus accusé de viol par la justice suédoise. L’affaire est classée sans suite et les faits qui lui sont reprochés seront prescrits en août 2020.
Mais pas totalement tiré d’affaire à ce qu’il paraît
Bien que les chefs d’accusation de la justice suédoise soient levés, il n’en demeure pas moins qu’Assange n’est pas prêt de sortir de prison. Ce dernier est encore sous le joug d’une extradition vers les USA où il sera entendu notamment sur ses activités d’emblée supposées terroristes par la Maison Blanche.
A ce sujet la demande d’extradition américaine devrait être examinée en février 2020. Pour l’heure Assange demeure emprisonné à Londres