Souvenez-vous, c’était il y a 5 ans. Une petite fille, Fiona disparaît. On apprend plus tard que le beau-père de la fillette, l’a tué – de manière accidentelle – en la frappant. Cécile Bourgeon dit avoir menti, pour protéger son compagnon. Berkane Makhlouf avait écopé de 20 ans de réclusion criminelle, tandis que la mère, avait écopé de 5 ans de prison. Début d’année 2017, cette dernière demandait sa remise en liberté conditionnelle, ce qui lui avait été refusé.
Ce lundi 9 Octobre, commence un nouveau rebondissement juridique : le couple a fait appel de la décision et se retrouve de nouveau devant les assises.
Le procès de la seconde chance pour le couple
Pour l’un des avocats du parti civil, Monsieur Antoine Portal, ce procès sera l’occasion – pour le couple – de revenir sur leurs déclarations et d’être enfin clair sur ce qu’il s’est réellement passé.
L’avocat du père de Fiona – Nicolas Chafoulais – est beaucoup moins indulgent : « Qu’on arrête de nous balader, de nous manipuler sur l’accident, les blessures involontaires ou les produits stupéfiants en libre service dans l’appartement. Fiona est morte de violences, c’est d’une évidence limpide ».
Rappel : le corps de la petite fille n’a jamais été retrouvé et le père de cette dernière réclame des informations sur la localisation du corps.
Un appel qui risque de ne pas amener grand chose de nouveau
Le conseiller de Madame Cécile Bourgeon pense que ce procès risque de ne rien apporter de nouveau à l’affaire, qu’il estime claire. Du moins, rien de nouveau ne pourra être apporter par cette dernière, apparemment au plus bas (bien que plus sereine aujourd’hui) et qui aurait tenté de se suicider en Juillet dernier.
Cependant, on peut espérer obtenir de nouvelles informations de la part de Monsieur Berkane Makhlouf qui – depuis le début – tend à remettre en question les dires de son ex-femme et se dit injustement puni. La confrontation entre les deux anciens partenaires peu apporter de nouveaux éclaircissements, tout comme se résumer à un vulgaire règlement de compte, complètement stérile.
Affaire à suivre.
Puisque la peine de mort n’existe plus il faut les garder en prison à vie et les faire travailler et donner leur argent pour les enfants démunis ils me dégouttent