EN BREF
  • 🔮 Sir Isaac Newton a prédit en 1704 que l’Apocalypse pourrait survenir en 2060, basant ses calculs sur les prophéties bibliques.
  • Newton, connu pour ses travaux sur la gravité, était également passionné par les textes sacrés et cherchait à y trouver des vérités scientifiques cachées.
  • La fameuse lettre de Newton, conservée à l’Université hébraïque de Jérusalem, continue de susciter des débats entre théologiens et scientifiques.
  • 🤔 Cette prédiction soulève des questions sur la relation entre science et religion, et comment elles peuvent coexister dans notre compréhension du monde.

Sir Isaac Newton est universellement reconnu pour ses contributions révolutionnaires à la science, notamment à travers sa découverte de la loi de la gravitation universelle. Cependant, peu de gens savent qu’il s’est également plongé dans l’étude des prophéties bibliques. Selon ses calculs basés sur des textes sacrés, Newton a prédit que le monde tel que nous le connaissons pourrait disparaître en 2060. Cette prédiction, bien que surprenante, n’était pas une simple conjecture de sa part mais le fruit de ses études méticuleuses. À travers les siècles, cette prédiction a continué à captiver l’imagination de nombreux théologiens et scientifiques, soulevant des questions sur les liens entre science et religion.

Newton et sa prédiction de l’Apocalypse

Newton est souvent associé à sa fameuse découverte sur la gravité, mais son intérêt pour les prophéties bibliques révèle une autre facette de son génie. Il a étudié intensément le livre de Daniel dans l’Ancien Testament, y cherchant des indices sur la fin des temps. Selon ses calculs, l’Apocalypse était programmée pour 2060, un chiffre qui continue de résonner dans divers cercles académiques et religieux. Ce n’était pas là une date choisie au hasard : Newton s’appuyait sur une analyse rigoureuse de la Bible, combinée à son propre système de calcul. Il croyait que le monde allait traverser une période de chaos et de destruction avant d’entrer dans une ère de paix.

Bien que cette prédiction puisse sembler ésotérique, elle était fondée sur une logique mathématique et une interprétation des textes sacrés que Newton prenait très au sérieux. Il n’était pas un charlatan prophétisant la fin du monde à la légère, mais plutôt un scientifique appliquant sa rigueur à des domaines qui dépassaient la simple physique. Cette prédiction a été mise par écrit dans une lettre de 1704, qui est aujourd’hui conservée à l’Université hébraïque de Jérusalem. Cette lettre continue d’intriguer et d’influencer les débats modernes sur l’interprétation et la légitimité des prophéties.

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Un scientifique ou un philosophe mystique ?

Newton était bien plus qu’un simple scientifique. Il était un penseur dont les intérêts s’étendaient au-delà des frontières traditionnelles de la science. Pour lui, la science et la religion n’étaient pas des sphères distinctes mais plutôt des domaines interconnectés pouvant révéler des vérités profondes sur l’univers. Stephen D. Snobelen, historien des sciences, souligne que Newton ne voyait pas de « barrière imperméable entre la religion et ce que nous appelons aujourd’hui la science ». Ce point de vue était radical pour son époque, et il l’est encore de nos jours.

Contrairement à ses contemporains, Newton ne rejetait pas les textes sacrés comme étant en dehors du domaine de la raison. Au contraire, il considérait que des vérités scientifiques pouvaient être trouvées dans ces écrits, ce qui révolutionnait la manière dont les scientifiques pouvaient aborder la connaissance. Newton était donc autant un philosophe mystique qu’un physicien renommé. Cette dualité de pensée a contribué à façonner sa vision du monde et a laissé un héritage durable qui continue de stimuler la curiosité et le débat.

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La lettre de 1704 : un document fascinant

La lettre que Newton a écrite en 1704 contient ses calculs et observations sur la fin du monde. Ce document, bien que vieux de plus de trois siècles, reste une source de fascination pour de nombreux chercheurs. Conservée à l’Université hébraïque de Jérusalem, elle est régulièrement étudiée par des théologiens et des scientifiques qui cherchent à comprendre les motivations et le raisonnement de Newton. Cette lettre n’est pas seulement une prédiction apocalyptique, mais aussi un témoignage de la manière dont Newton a intégré ses croyances religieuses à sa rigueur scientifique.

Il est important de noter que Newton ne revendiquait pas de certitude absolue quant à la date de l’Apocalypse. Dans sa lettre, il mentionne qu’il est possible que la fin du monde arrive plus tard que 2060. Cela démontre une humilité scientifique rarement vue dans les prédictions apocalyptiques. La lettre est un exemple précieux de la manière dont les croyances religieuses et les méthodes scientifiques peuvent s’entrelacer pour produire des conclusions qui défient le temps.

Il y a 321 ans, un physicien avait prédit la disparition de notre monde. Nous approchons du moment où sa prédiction pourrait se concrétiser... ou pas.

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Les débats modernes autour de la prédiction de Newton

Trois siècles après la rédaction de sa lettre, la prédiction de Newton continue d’alimenter les débats. Les scientifiques et théologiens contemporains se demandent si Newton était sérieux dans sa prédiction ou s’il s’agissait simplement d’un exercice intellectuel. Cette question est centrale dans les discussions actuelles sur les liens entre science et religion. Certains voient dans cette prédiction une tentative de réconciliation entre les deux domaines, tandis que d’autres y perçoivent une simple curiosité intellectuelle de la part de Newton.

Les débats sur cette prédiction révèlent également la manière dont nous interprétons les prophéties et les écrits anciens à la lumière de la science moderne. Est-il possible que des vérités scientifiques soient cachées dans des textes religieux anciens ? Cette question reste ouverte et continue de stimuler la réflexion et la recherche dans de nombreux domaines académiques. La prédiction apocalyptique de Newton est donc bien plus qu’un simple chiffre : elle est un point de départ pour explorer les frontières entre la connaissance religieuse et scientifique.

La vision de Newton, qui relie science et religion, pose une question essentielle pour notre époque : comment intégrer ces deux domaines apparemment contradictoires dans notre compréhension moderne du monde ?

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Baptiste Lemoine, journaliste spécialisé dans les technologies et l'innovation, met sa passion pour l'évolution numérique au service de Newsly.fr. Diplômé de la City, University of London en journalisme, il allie une rigueur analytique à un talent rédactionnel certain pour rendre les sujets complexes accessibles et captivants. Toujours à l’affût des dernières tendances technologiques, il éclaire les enjeux d’un monde en transformation pour ses lecteurs. Contact : [email protected]

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