Alors que la deuxième vague de coronavirus bât son plein en France et que nous sortons à peine d’un deuxième confinement d’un mois, les activités peinent à redémarrer et repartir. Les bibliothèques demeurent fermées, de même que les restaurants et glaceries. Tout comme les salles de cinéma, qui demeure fermées et dont la réouverture a à nouveau été reportée. Une décision que peinent à comprendre quelques-uns.
Mobilisations contre le maintien de la fermeture des salles de cinéma
En Dordogne comme dans le reste de la France, le mot d’ordre est de réduire l’escalade de la deuxième vague de COVID-19, en limitant notamment les déplacements de flux d’individus.
Ce qui passe par la fermeture des services non obligatoires. A l’instar des salles de cinéma, des supermarchés de luxe, des grands lieux de la grande consommation. Seuls les services essentiels sont autorisés à rester ouverts.
Cette décision n’arrange pas tout le monde. A l’instar des propriétaires des salles de cinéma qui sont descendus dans la rue afin de manifester leur mécontentement.
Le coronavirus met le cinéma à terre
Selon Rafael Maestro, du réseau Ciné Passion de Dordogne, l’association au recours déposé au référé est liée au fait que tous veulent « être associés aux réunions avant la réouverture. Il faut deux à trois semaines de délai pour remettre les films à l’affiche ».
En outre, le directeur de l’association souligne notamment que les protocoles sanitaires mis en place par le gouvernement sont efficaces, bien qu’li reconnaisse que le coronavirus « met un sacré coup au cinéma comme à toute la filière culturelle et à l’ensemble des métiers, simplement il y en a qui ont pu repartir parce qu’il y avait des protocoles sanitaires parce qu’il y avait un engagement de la part de l’Etat mais dans le cadre de la culture, on en est à 200 jours de fermetures ».
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