La campagne de vaccination contre le COVID-19 suit son cours et de plus en plus de Français font le choix de prendre leur dose vaccinale. Bien qu’une forme de scepticisme règne sur le territoire national, quant à l’efficacité des vaccins disponibles. Et l’information du jour risque de les rendre encore plus sceptiques, puisqu’on a déjà enregistré 5 décès suite à la vaccination à l’aide du vaccin Pzer-BioNTech. Des décès qui ne seraient à priori, pas liés directement au sérum vaccinal.
Des effets indésirables en cascade
Depuis le début de la campagne de vaccination contre le coronavirus en décembre 2020, les autorités sanitaires auraient déjà recensé 139 cas d’effets indésirables, suite à la vaccination.
Des trouvailles qui n’ont comme vous l’imaginez, pas été divulguées. Ce qui aide à renforcer le climat de suspicion au sujet de ce vaccin, venu tout droit des Etats-Unis. Et parmi les 5 décès dont il est question ici, 3 des défunts habitaient Nancy.
Point commun entre ces trois défunts outre leur ville ? Tous trois avaient plus de 75 ans, souffraient d’autres maladies cardiaques et rénales notamment, précise le ministère de la Santé.
Olivier Véran réagit
« Ce sont des personnes qui ont pu décéder dans les jours qui ont suivi la vaccination sans pour autant présenter des signes de réaction allergique suite à la vaccination », a cependant souligné Olivier Véran, ministre de la Santé.
Ce dernier d’ajouter : « ce sont des personnes qui ont pu décéder dans les jours qui ont suivi la vaccination sans pour autant présenter des signes de réaction allergique suite à la vaccination… En EHPAD, on s’adresse à des personnes qui sont très fragiles, en perte d’autonomie et souvent avec beaucoup de maladies et de médicaments. Et les causes de ces décès peuvent complètement être indépendantes. Il y a évidemment dans le cadre du suivi de pharmacovigilance des études qui sont faites par les autorités sanitaires en lien les médecins pour déterminer s’il y a un lien ou non avec la vaccination ou bien si c’est une concordance malheureuse. Dès qu’il y a une alerte, il y a une enquête. S’il y a une suspicion forte, il peut être propose de faire des analyses supplémentaires. »
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